A propos de la rando de ce dimanche à Saint-Vallier c’est « 0. », (on prononce zéro pointé).
Qu’à t’il bien pu se passer ? Prenons les paramètres les uns après les autres :
Le temps passé à l’organisation du co-voiturage : cela a pris plusieurs heures sans rechigner avec un beau tableau Word à la clé.
Le temps de préparation du propos de l’accompagnateur : ce n’est que du plaisir pour se replonger dans les fiches qui expliquent tout ce qu’on va voir.
Le temps de repérage de l’itinéraire : merci au GPS, dont la batterie ne nous a pas lâché.
Le minibus Argos : c’est lui qui solutionne de justesse le problème du covoiturage ; encore une fois, il n’y a pas assez de conducteur ! J’en profite pour transmettre un GRAND MERCI, à ceux qui se proposent de chauffer les passagers.
Les rdv et le trajet jusqu’au parking de départ : aucun retard de participants, aucun oubli, aucune perte. On a quand même eu une petite aventure avec la porte arrière du minibus (juste pour rigoler).
Le parcours : un peu de piste, un peu de sentier, un peu de hors sentier. Juste de quoi associé un brin de convivialité, avec un zest d’effort + quelques gouttes d’aventure.
La rando en elle-même : on a tout vu, sans se presser, sans se perdre, avec un super coin de pique-nique, et la sieste n’en parlons pas + la rencontre avec deux mantes religieuses et deux bourricots + la rencontre avec l’association « Les Géophiles » et leurs charrettes électriques. Juste une petite frayeur pour Jacqueline (la doyenne de la journée), qui pas loin de l’arrivée, à basculer vers l’avant à la suite d’un dérapage. Chute heureusement sans gravité.
La météo : parfaite, du beau pas trop chaud, juste comme il faut pour apprécier les rayons du soleil.
Les couleurs : ça y est c’est bien l’automne. Les couleurs sont là pour en parler et la luminosité aussi.
A l’arrivée : tout le monde est content de ces 335 m de dénivelé et presque 10 km.
Alors voilà : zéro pointé pour ce zéro faute. Ce qui n’était pas gagné d’avance vu l’emballement des inscriptions : nous étions quand même 28.
A bientôt à tous, Jean.